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Webographie

 

Le document “Drag et performance, encyclopédie du genre, corps, sexualité, rapports sociaux” est un article scientifique déposé sur les Archives ouvertes HAL (une plateforme de dépôt pour les universitaires). Il fait 11 pages en comptant la bibliographie et la page de présentation. Il a été écrit par des professionnels identifiables : Luca Greco, maître de conférences HDR en sciences du langage à l’Université de la Sorbonne Nouvelle, Paris 3 ; et Stéphanie Kunert, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université Lyon 2. Cet article est donc de source fiable notamment grâce à sa bibliographie riche et bien structurée. Il est stable et très utile par rapport aux recherches que nous voulons effectuer.  

Ce document traite le sujet de la performance artistique comme forme d’art dans le Drag. Notre sujet étant “l’art du Drag et ses revendications”, la performance artistique est un sujet majeur à traiter.  L’article débute par une définition générale du Drag, ainsi que les questions qui vont être soulevées par le document. Ils créent un “historique” du Drag qui remonte aux débuts du mouvement des “bals” de 1869 à nos jours. L’article explique la culture des “bals” : “les gays, les lesbiennes et les travestis blanc·he·s avaient la possibilité de se rencontrer dans des endroits sûrs et d’explorer diverses formes de subversion des normes de genre, par et dans les pratiques de danse et de travestissement”. La date 1869 correspond au premier bal masqué de ce type dans le quartier de Harlem, le Hamilton Lodge. 

L’article met en relation Drag et performance artistique, dans une partie il explique même​ ​que le Drag se place entre “performance et performativité”. Le Drag est vu comme une performance du genre : il s'agit d'interpréter un personnage et de placer au centre de la prestation des questions politiques, culturelles, etc… La performativité consiste à répéter et reproduire une norme qui est alors réappropriée. Par exemple, certains types de danse (Voguing, etc…), ou encore ce qu'on appelle les slurs (des insultes souvent homophobes qui prennent place dans le langage courant au  sein de ces communautés).   

 

Le document Casser “les codes du genre” : la scène drag-queen renaît à Paris est une dépêche produite par l’AFP (Agence France Presse) en 2018. Elle est déposée et consultable sur le journal d’actualités hebdomadaires l’Express. Une dépêche est composée d’un titre impactant (Casser “les codes du genre” : la scène drag-queen renaît à Paris), d’un texte factuel et plutôt​ court (ici une cinquantaine de lignes maximum) et d’éléments clés qui simplifient la compréhension du texte et le replace dans son contexte  (dates, lieux, événements précis, courtes interviews, etc…). L’auteur de l’article n’est pas identifiable, mais l’AFP reste une source sûre et nationalement reconnue. Il n’y a pas de bibliographie disponible sur l’Express mais cette source reste stable. 

Le document se découpe en plusieurs parties qui traitent le Drag comme différents sujets politiques. Il commence par évoquer la volonté d’une nouvelle génération de casser les codes du genre par des performances artistiques. Il prennent l’exemple de la Drag Queen Moth qui se “déguise” en femme mais garde des caractéristiques masculines (comme une moustache à paillettes). Ensuite, l’article fait un court historique du Drag à Paris depuis leurs heures de gloire dans les années 1990 jusqu’à ce qu’elles tombent en désuétude pour revenir de nos jours. 

L’article explique aussi qu'une nouvelle vague de Drag Queens et Drag Kings se réapproprient cette culture grâce à une récente médiatisation du sujet. La série américaine RuPaul’s Drag Race permet à une nouvelle génération de découvrir et commencer le Drag, l’article donne la parole à la Drag Queen Vénus : "J'ai commencé à regarder RuPaul (...) et je me suis rendu compte que j'étais peut-être fait pour ça".

Le sujet suivant concerne le “geste politique” que les Drag Queens font en sortant dans la rue habillées en femme (les risques de se faire violenter sont très préoccupants pour ces personnes). Malgré l’évolution de notre société, on remarque quand même une grande vague d’insécurité pour les personnes “queers”. La fin de cette dépêche dénonce la précarité des “travailleurs de la nuit” et malgré la forte médiatisation autour du Drag, le manque de reconnaissance pour une “passion” qui est particulièrement onéreuse et  dangereuse. 

L’article est très intéressant car il permet d’avoir la vision d’un journal qui tient une ligne éditoriale orientée politiquement à droite sur un sujet perçu comme étant réservé à la gauche. L’approche politique du thème rentre dans le cadre de notre sujet “l’art du Drag et ses revendications” et apporte même de nouveaux points de réflexion en ce qui concerne la précarité par exemple. Et enfin, les nombreuses interviews fournissent des exemples concrets de Drag Queens/Kings. 

 

The Fabulous History of Drag est un article d’auteur anonyme mais réalisé par Bitesize et publié en 2019. Il est donc de source sûre, non modifiable et publié par la BBC. Le principe des articles Bitesize est d’apporter du contenu de manière rapide et avec des mots faciles à comprendre, même pour un public qui n’a aucune connaissance précédente sur le sujet. La lecture de ces articles est rapide mais il est vrai que les informations sont très condensées et donc peu approfondies. La BBC (acronyme de British Broadcasting Corporation) est une source de diffusion d’information britannique. Elle est reconnue au niveau international pour ses articles vérifiés. 

Le document traite de l’histoire des pratiques du Drag. L’article commence par l’histoire des bardes qui furent dans les premiers à se déguiser en femme pour raconter leurs histoires au Moyen Âge. Les bardes avaient besoin d’imiter leurs personnages féminins, et afin de faire ceci, ils portaient des vêtements traditionnellement réservés aux femmes, en jouant sur les stéréotypes pour interpréter des archétypes féminins. L’article parle aussi de Princess Seraphina Rocks, la première Drag Queen véritablement connue et reconnue de l’histoire. Il s’agit d’une Drag Queen populaire en Angleterre dans les années 1720. Ensuite, le ou les auteur(s) de l'article parlent de la place des Bals dans la société underground au Etat Unis. Les Bals sont des rassemblements de personnes Queer, mises en marge de la société, qui se retrouvent pour participer à des performances variées (danse, chant, mode, etc …). Et pour conclure l’article, ils écrivent au sujet de la récente démocratisation du Drag. C’est grâce à l'apparition d’émissions sous forme de téléréalité (comme RuPaul’s Drag Race par exemple) que les pratiques du Drag commencent à prendre de l'ampleur et à être de plus en plus connues du grand public.

            Cet article était particulièrement intéressant et s’inscrivait parfaitement dans notre sujet. En effet, l’histoire du Drag est difficile à trouver car elle n’a jamais fait l’objet d’une étude scientifique sur laquelle nous pourrions nous appuyer. Ces articles parviennent à donner quelques informations supplémentaires sur le sujet. 

Réalisé par Bernadette Deron, The Evolution Of The Art Of Drag In 33 Stunning, Historical Images, publié le 15 Décembre 2018, ATI

https://allthatsinteresting.com/ consulté le 25/04/2022

 

Ce document est un article intitulé The Evolution Of The Art Of Drag In 33 Stunning, Historical Images, et a été écrit par Bernadette Deron, une journaliste américaine. Il a été publié sur la revue en ligne américaine ATI (acronyme de All That is Interesting). Il s’agit d’une plateforme sur laquelle sont postés des articles courts qui souhaitent “aller à l’essentiel”. Les articles sont souvent sur des sujets actuels, qui parlent de la Pop Culture ou de l’actualité du monde. Le journal se veut inclusif et parle de sujets peu relayés par d’autres médias ; leur public est majoritairement jeune. 

L’article retrace l’histoire du Drag à travers des clichés emblématiques. Il remonte aux pièces de théâtre où les hommes se déguisaient en femmes pour interpréter leurs rôles à une époque où il leur était interdit de monter sur scène. Une bonne partie de l’article traite des violences engendrées sur la communauté LGBTQIA+ et plus particulièrement à l’encontre des Drag Queens. La mafia de New-York, avec l’aide de la police, a par exemple essayé de faire fermer définitivement les clubs gays de la ville. La manœuvre n’a pas fonctionné mais énormément de violence a découlé de cette période de “chasse à la sorcière”. Pour finir, l’article traite de la récente montée en popularité du Drag au travers de la célèbre Drag Queen RuPaul, devenue connue dans les années 1980. 

Cet article a été utile dans nos recherches car il apporte un autre point de vue sur l’histoire du Drag de façon plus politique et recentré sur la ville de New-York, très importante dans la culture du Drag. Le problème de celui-ci est qu’il s’intéresse seulement aux Drag Queens et ne mentionne pas les autres formes de Drag ou la communauté Queer en général. 

L’univers du “drag” expliqué par les queens Minima et Catherine, sur Le Monde, consulté le 17/03/2022 

https://www.lemonde.fr/festival/video/2019/10/18/l-univers-du-drag-explique-par-les-queens-minima-et-catherine_6016101_4415198.html

 

Le document est une vidéo qui se nomme L’univers du “drag” expliqué par les queens Minima et Catherine. Elle est disponible sur le site du journal Le Monde dans la rubrique Droits LGBT. La vidéo a été publiée le 18 octobre 2019. Le contenu est fixe car il s’agit d’une vidéo non modifiable. Les deux “autrices” sont clairement identifiables, il s’agit des deux Drag Queen Minima et Catherine qui parlent elles même de leur art : ce sont des professionnelles. La vidéo est donc une source primaire. Le document est utilisable dans un travail universitaire. 

 

La vidéo est divisée en plusieurs questions ou mots que les deux artistes définissent. Elle est claire et précise. En dessous de la vidéo il se trouve une légende introduisant la vidéo. Les sources ne sont pas citées, cependant les deux Drag Queen, constituent leurs propres sources elles même car elles expliquent leur métier et les concepts de leurs expériences. Il est néanmoins cité l’émission Rupaul’s Drag Race oralement et avec l’appui d’extraits vidéos. 

 

La vidéo est pertinente car elle est explicative et claire sur les principes et mots associés au Drag. Les deux artistes définissent plusieurs concepts et mots propres à cet art de la performance et de la scène. Cet article est utile pour des recherches et pour le mentionner en sources. Cependant, il manque certaines précisions à approfondir avec d’autres articles car celui-ci reste très générique et manque d’informations sur l’aspect politique.

Daniel Villarreal, Drag queens are more political than ever. Can they lead a movement?, publié le 5 Novembre 2018, sur Vox. Consulté le 24/04/22 pour la dernière fois. https://www.vox.com/identities/2018/11/5/18056558/drag-queens-politics-activism-lgbtq-rupaul 

 

Ce document est un article écrit par Daniel Villarreal, il est intitulé Drag queens are more political than ever. Can they lead a movement? Il est publié sur le média en ligne américain Vox, un journal connu pour son placement politique socialiste, toujours à contrer ce que les Républicains écrivaient du temps où Donald Trump était au pouvoir. Il s’agit d’une plateforme sûre, bien que politiquement biaisée ; et l’auteur de l’article, Daniel Villarreal, est un journaliste reconnu. 

Il s’agit d’un article assez long qui se découpe en 5 parties différentes. D’abord une introduction qui replace dans son contexte la récente montée en popularité du Drag, notamment grâce à l’émission RuPaul’s Drag Race.  La seconde partie est nommée “The Rise of political Drag Queens” (c’est-à-dire l’arrivée de Drag Queens politiques). L’exemple donné est celui des Sisters of Perpetual Indulgence ; il s’agit d’un groupe caritatif de Drag Queens qui réalisent des actions bénévoles afin d’aider les plus démunis. La seconde partie parle des oppositions à ses mouvements : on voit par exemple une photographie de personnes posant une croix chrétienne rouge devant une école où une Drag Queen faisait la lecture à des enfants. La troisième partie explique comment se placent les Drag Queens à l’époque du mouvement #MeToo et de la lutte contre la transphobie. La dernière partie s’intitule “What Drag can’t do in politics” (“qu’est-ce que le Drag ne peut pas faire en politique”). Cette partie prend pour exemple des situations qui se sont déjà produites ; qu’une Drag Queen affiche publiquement son soutien au parti républicain pour qu’elle se fasse exclure d’une émission. Une Drag Queen ne peut donc pas aller à l’encontre de la politique de la communauté.

Cet article nous a été utile car il traite de manière développée la question de la politique au sein de la communauté Queer. On a donc un aperçu des actions menées mais cela donne aussi à réfléchir quand il s’agit des conflits qui se passent depuis les débuts du Drag.

Auteur anonyme, Underground Ball Culture, date de parution inconnue, produite par le Grinnell College. consulté le 22/04/2022

https://haenfler.sites.grinnell.edu/subcultures-and-scenes/underground-ball-culture/ 

 

Le document “Drag et performance, encyclopédie du genre, corps, sexualité, rapports sociaux” est un article scientifique déposé sur les Archives ouvertes HAL (une plateforme de dépôt pour les universitaires). Il fait 11 pages en comptant la bibliographie et la page de présentation. Il a été écrit par des professionnels identifiables : Luca Greco, maître de conférences HDR en sciences du langage à l’Université de la Sorbonne Nouvelle, Paris 3 ; et Stéphanie Kunert, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université Lyon 2. Cet article est donc de source fiable notamment grâce à sa bibliographie riche et bien structurée. Il est stable et très utile par rapport aux recherches que nous voulons effectuer.  

Ce document traite le sujet de la performance artistique comme forme d’art dans le Drag. Notre sujet étant “l’art du Drag et ses revendications”, la performance artistique est un sujet majeur à traiter.  L’article débute par une définition générale du Drag, ainsi que les questions qui vont être soulevées par le document. Ils créent un “historique” du Drag qui remonte aux débuts du mouvement des “bals” de 1869 à nos jours. L’article explique la culture des “bals” : “les gays, les lesbiennes et les travestis blanc·he·s avaient la possibilité de se rencontrer dans des endroits sûrs et d’explorer diverses formes de subversion des normes de genre, par et dans les pratiques de danse et de travestissement”. La date 1869 correspond au premier bal masqué de ce type dans le quartier de Harlem, le Hamilton Lodge. 

L’article met en relation Drag et performance artistique, dans une partie il explique même​ ​que le Drag se place entre “performance et performativité”. Le Drag est vu comme une performance du genre : il s'agit d'interpréter un personnage et de placer au centre de la prestation des questions politiques, culturelles, etc… La performativité consiste à répéter et reproduire une norme qui est alors réappropriée. Par exemple, certains types de danse (Voguing, etc…), ou encore ce qu'on appelle les slurs (des insultes souvent homophobes qui prennent place dans le langage courant au  sein de ces communautés). 

Bob the Drag Queen Teaches You Drag Slang / Vanity Fair [en ligne] <https://www.youtube.com/watch?v=0WKyuVMDT5U&t=602s> consulté le 25/04/2022

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Le document est une vidéo qui se nomme Bob the Drag Queen Teaches You Drag Slang  Vanity Fair. Elle est disponible sur le site Youtube sur la chaîne Vanity Fair. La vidéo a été publiée le 7 juillet 2020. Le contenu est fixe car il s’agit d’une vidéo non modifiable. Les commentaires cependant ne sont pas considérés comme fixes, cependant, ce n’est pas là où nous allons tirer l’information.  “L’autrice” est clairement identifiable, il s’agit de Bob the Drag Queen qui parle de son art  : c’est une professionnelle. La vidéo est donc une source primaire. Le document est utilisable dans un travail universitaire. 

La vidéo est divisée en plusieurs mots ou vocabulaire spécifique que Bob the Drag Queen définit. Tout est expliqué de manière claire et concise. En dessous de la vidéo il se trouve une légende introduisant la vidéo. Les sources ne sont pas citées, cependant il n’y a pas besoin de les citer car c’est la vidéo d’une artiste qui explique. Il est néanmoins cité l’émission Rupaul’s Drag Race oralement, Bob the Drag Queen y a participé durant la saison 9. 

La vidéo est pertinente car elle est explicative et claire sur les principes et mots associés au Drag. Bob the Drag Queen définit plusieurs concepts et mots propres à cet art de la performance et de la scène. Cet article est utile pour des recherches et pour le mentionner en sources. Ce n’est pas un article universitaire et très détaillé cependant il passe en revue quelques bases pour comprendre des tournures de phrases souvent utilisées dans le vocabulaire drag et queer des États-Unis. C’est très utile pour la compréhension et en introduction. Cependant, ce n'est pas dans cette vidéo que nous allons chercher les enjeux politiques.

Sandra Roubin, "Le Drag King : Entretien avec un·e performeuse/eur", Collectif contre les violences familiales et l’exclusion (CVFE asbl), août 2019. URL : https://www.cvfe.be/publications/analyses/255-le-drag-king-entretien-avec-un-e-performeuse-eur 

consulté le 25/04/2022

 

Ce document est une entrevue avec Zahar sur le thème du drag King enne se nomme "Le Drag King : Entretien avec un·e performeuse/eur", . Elle est disponible sur le site CVFE. L’article a été publié en août 2019. Le contenu est fixe car il s’agit d’un article non modifiable. L’autrice est clairement identifiable, il s’agit de Sandra Roubin, une chargée de recherche chez le CVFE. Elle interview Zahar et retranscrit ses dires dans l’article. Le document est utilisable dans un travail universitaire. 

 

L’article est divisé en plusieurs questions et réponses. Au début, il y a une remise en contexte du drag et une explication du choix du sujet. L’article est principalement composé de texte et comporte une photo de Zahar au début. Les sources sont citées, des articles pour approfondir sont proposés.

 

Le document est très pertinent car il explique en détail le processus de transformation vers le Drag King, mais aussi les intentions, les raisons, les sentiments des gens qui performent. C’est clair, bien proportionné, lisible facilement et bien détaillé. C’est un article qui permet de voir le point de vue d’un Drag King qui parle de son expérience et qui accompagne des nouvelles personnes qui aimeraient pratiquer cet art. 

Gabriel PIOZZA, “Tout ce qu’il faut savoir sur les bals underground de New York avant de voir “Pose”, Vanity Fair, Juin 2018. URL : https://www.vanityfair.fr/culture/ecrans/story/guide-ball-culture-pose/2483 

consulté le 25/04/2022

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Ce document est un article portant sur le sujet des bals de New York. Il se nomme : “Tout ce qu’il faut savoir sur les bals underground de New York avant de voir “Pose” et il est disponible sur le site du magazine Vanity Fair. L’article a été publié en juin 2018. C’est un contenu fixe, un article non modifiable. L’auteur est clairement identifiable : Gabriel Piozza, un journaliste du magazine. L’article ne cite pas ses sources. Le document n’est pas utilisable dans un travail universitaire mais est intéressant à survoler pour quelques informations. 

L’article est composé de texte, photographies, vidéos et gifs. C’est un article qui relie l’histoire des bals à la série Pose, sortie elle aussi en 2018. L’article est divisé en différentes petites parties : la série Pose, “comment ça marche”, les maisons, puis quelques mots de vocabulaire. Les sources textuelles ne sont pas citées, les photographies cependant si.
Ce document est pertinent de par le manque d’études réalisées sur les sous cultures. Il est intéressant et met en parallèle  Pose et Paris is burning à des éléments historiques. Il est aussi pertinent grâce à quelques éléments historiques et de déroulement des bals. Cependant il est intéressant uniquement pour le survoler et non pas pour le citer.

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